Entre le gribouillage original des paroles de “Give Peace A Chance” vendu il y a à peine une semaine plus de £300 000 et la bande retouvée d’une interviouve vieille de 46 ans des Fab’Four, laquelle est prévue pour finir aux enchères, l’actualité est résolument aux commissaires friseurs à défaut d’être, béatement, aux Beatles.
Dans les grandes ventes du moment, outre celle de la [Strat brulée par Hendrix] à l’Astroria le 31 mars 1967, la première consacrée à différents objets ayant appartenus à James Brown. Car, à peine 18 mois que le Parrain est mort et que, hop, déjà on le dépouille…pour une série d’enchères qui aura lieu chez Christie’s, au Rockefeller Center à NYC (Manhattan) le 17 juillet, mais qui risque d’être repoussée à une date ultérieure sur injonction de l’avocat de James Brown. Lequel avocat exige que les bénéfices soient reversés à la fondation “I Feel Good Trust”, association (fondée par le dabe, il va sans dire) d’aide à l’éducation d’enfants géorgiens démunis.
Au cas où, le n° de la vente, plus de deux cents lots, c’est le 2116. Pa
s de prix de réserve sur aucun des objets.
Et c’est de 14 heures à 22 heures.
On s’en doute, il y a pratiquement toute la garde robe de scène (assez classieuse en matière de bon goût), y compris la célèbre cape Dracula, des costards pas possibles, des trophées divers, des guitares et basses (dont une Explorer), des contrats originaux signés et tout le toutim.
Avec, bien sûr, toute une collection de pompes à talonnettes.
Même des ‘tiags.
Mais on pourra aussi s’asseoir sur ces fauteuils et sièges qui en disent long sur le soin qu’il apportait, professionnel jusqu’à la moelle, à sa présentation.
Sièges qui font ma joie.
Surtout celui, un tantinet chaise électrique sur les bords, avec le casque à papillotes et bigoudis ! Il est vendu sans les bombes de laque et autres shampoings à sec qui sont vendus avec les bigoudis.
La totale !!!
Ouèche
Professor BeeB HôPô
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