1- Célébration de Joe Kramer, immense batteur d’Aerosmith, batteur comme seule l’Amérique sait en produire. Le métier, la frappe, l’indépendance et la cohérence. Tout, il a tout. La preuve est là et c’est une évidence. Le métier, la frappe, l’indépendance et la cohérence. C’est qu’il leur fout quand même de sacrés coups de pieds dans le popotin à ses guitaristes et à son screamer. Quand c’est pas des coups de boule sur les fûts pendant son solo !
2- Deux – cadeaux bonusses
3- Aller…Zou… En avant pour une presque deux heures de riffs dégorgés au feedback, striés à l’exhortation, plombés au humbucker, assommés à la basse cinq cordes, fouettés aux drums-sticks, décapés aux cymbales de crash et dérouillés à la pédale de grosse caisse.